Le vendredi 28 juillet, sur des lieux révélateurs choisis par Michel Convers (entre le hameau de la France et les hauts de Côte-Rousse) , deux bons connaisseurs de la forêt nous ont montré, entre autres, que celle-ci était un organisme fragile qui, pour continuer à nous fournir de l’oxygène et de la fraîcheur, ne devait pas être maltraitée (abattages inconsidérés, plantations d’essences inadaptées, détériorations par le gros gibier non régulé, absence d’entretien ...).